P.S.A. -partie 2
Houlà. Je savais que mon P.S.A. (publié hier) ne plairait pas trop trop.
Mais TANT PIS ! Lorsque l' on écrit, ne doit-on donc écrire que ce qui flattera le plus grand nombre
Et recevra la plus grande adhésion, en ne pouvant qu' être salué ?
NON ! Il convient à l' inverse, (et je le pense sincérement) de pouvoir et savoir appuyer
Là ou ça peut faire mal.
Alors les gens... notez-le, vos engueulades en direct live, par coups de fil ou sur the Net !!!
Bon Dieu, qu' ont donc dans la tronche tous ces gens qui à la façon de nombre
D' Avocats, Médecins, Militaires, Notaires etc... Ne voient pour leurs progénitures respectives
Que la solution de vivre en prenant un jour leur suite ? Comme si celà relevait de l' incontournable.
C' est quoi ce syndrôme du corps de métier inévitable ou inéluctable ?
Et par quelle malédiction ce choix "quasi obligé" existe-t-il également -dorénavant-
Bien en deça des fonctions citées plus haut, dans la Classe Ouvrière ?
Bon sang ! C' est quoi ces "dynasties" qui naissent, s' installent, et n' ont pour seule priorité
Que leur propre survie et continuation ?
(Sans développer ici, le barrage à de possibles "élévations" sociales)...
Moi, par exemple, mon Père Sous-Officier de Gendarmerie, aurait fort donné, pour que je prenne sa suite.
Euh... Ce fut un beau "ratage" !
Cependant -HELAS-, au nom d' un corporationisme stupide, côté Classes Laborieuses,
Même les Syndicats soutiennent et constituent ce genre de "Familles" !
Ainsi, QUETTON s' éleva-t-il (dans les années 1970) contre ces mêmes Syndicats qui,
En semi-abandon d' une partie des-dites Classes, menèrent combat, pour -par exemple-
Que des Maçons, Electriciens, Câbleurs, Menuisiers etc... oeuvrant dans l' édification
De la 1ére Centrale de Flamanville -donc bien avant le montage de l' actuel EPR-, soient mieux payés
Que leurs collégues bossant eux, pour telle ou telle petite entreprise,
Au prétexte que les premiers -entendre ceux qui édifiaient "notre" Cotentin Atomique-,
"Bossaient eux, pour une industrie de pointe" !
La même chose exista -dans les années 90-, à l' Arsenal de Cherbourg ! "Que vont faire nos enfants
S' ils ne bossent pas demain, là où nous bossions ?".
(Je me souviens, lors d' une Journée-Cherbourg-Ville-Morte, avoir été grondé et même, bousculé,
Par des Arsenautes (sic !), pour m' être prononcé -déjà-,
Pour un recyclage ou reclassement, des personnels, si la charge de travail de leur fichu Arsenal baissait encore).
Or, on nous re-prépare le même coup en Alsace à Feseinheim (ortho ?).
"Que vont faire nos enfants si F. est démantelé ?" ! Bon Dieu, quand sonna la fin de la Sidérurgie
Des "enfants" firent nécessairement autre chose, non ? Fusse en partant ailleurs.
Idem pour ce qui fut de l' existence des Mines pardi !
Il est amusant de constater -au final- que les gens bossant dans le nucléaire -par exemple-, affirment
Que lâcher celui-ci, serait revenir à la bougie.
A la bougie pas sûr... Mais aux mines ou à la sidérurgie, voilà qui en tenterait sans doute plus d' un.
Histoire de "bosser" à en crever ! (En dénonçant qui plus est Chômeurs et tenants du RSA).
C' est pareil pour les bagnoles nom de Dieu ! Quand il y en aura moins, le monde respirera mieux !
Pareil pour la paysannerie, désireuse d' avancer toujours TETE BAISSEE dans un productivisme assassin.
(Ayant déjà prouvé qu' il l' était assassin").
Cessons d' être des Prisonniers du boulot !
Pour changer authentiquement la vie, il convient impérativement de le changer ce foutu travail.
Donc de travailler moins, pour le partager le boulot, au minimum jusqu' à ce que
De nouvelles façons d' exister et de vivre, -plutôt que de survivre- aient été instaurées.
(Quant à toi Lecteur qui vient de me féliciter pour la qualité de mon P.S.A. -1, publié hier !
Ce P.S.A. -1 n' avait pas à être de qualité. Il n' avait pour raison d' être, que sa seule utilité).
(Extrait de DOMINANTES DE CES TEMPS & PROGRAMME POUR L' AVENIR)