23 septembre 2008
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JOURNEES DU PATRIMOINE
Purée d'nous autres ! La répétition annuelle de LA journée du patrimoine m'a donné une idée...
Comme le disait Victor Rugo: "Dans quelques années, à l'heure ou blanchira ma compagne, je partirais. Je me tirerais. Je me casserais. je mettrais le bouts. Je foutrais le camp"...
Non. Victor n'a pas écrit ça.
Alors, plus sérieusement, dans cakes années, quand la vieillesse m'aura rejoint, et que ma "retraite" d'un travail (qui n'était pas l'ami de ma santé) sera pour le moins menue. J'ai enfin, "youpi naukku" (expresion japonaise de contentement), trouvé une solution, pour me faire l'argent que j'irais aussitôt picoler au bistrot le plus proche, (voire fumer, si d'ici là, les bienfaits du H. ont enfin été reconnus).
Tous les ans à l'occasion de la journée du patrimoine, (mais aussi de la nuit de noël, du jour de l'an, de celui de pâques), je m'installerais , pine à l'air, dans un confortable fauteuil, au fond de mon jardin, -dans une cabanne illégalement construite, par des clandestins payés au noir -faut c'qui faut-.
Et là, j'attendrais.
Mais j'attendrais quoi direz-vous ?
Eh bien j'attendrais LES VISITEURS pardi.
Mes fils, auront installé sur un rayon de 777 kilomètres autour de ma cachette, des kilos de pancartes fléchées, indiquant ou voir le vieux sage. Patrimoine encore vivant des années de l'Underground Press.
Hop là. Celles et ceux qui auront fait le chemin, devront d'abord payer pour stationner devant chez moi.
Ils et elles devront payer encore, pour pénétrer sur mon terrain -d'aveu un ticket d'accès-.
Ils et elles devront payer, toujours, pour accéder à ma rare personne, attendant augustement au milieu de fleurs, arbres et arbustres, rares eux aussi, et... contempler mes roustons.
Enfin... les plus fortunés, (faut bien exploiter ces cons là !) au vu de mes vieilles couilles, devront cette fois, en direct live (et devant un/une huissier de justice), me remplir un chèque d'au moins 500 Euros, pour pouvoir tripoter mes reliques, et m'entendre ainsi beugler "POUETTE POUETTE", quand on me les soupésera ou pincera.
Camarades Artistes et autres Cinglés, ne faîtes pas comme moi, bande d'enflés. J'ai -bien sûr- déposé à l'Institut National de la Propriété Industrielle, le brevet d'exploitation de cette merveileuse idée.
Hé hé pour sûr. je me ferais aussi du fric avec tous les copieurs et autres imitateurs.
(Pour en finir, j'ai bien sûr, d'autres idées du même tonneau en tête. Elles sont à vendre. Contactez moi. Ou allez vous faire foutre, merde alors)...
Purée d'nous autres ! La répétition annuelle de LA journée du patrimoine m'a donné une idée...
Comme le disait Victor Rugo: "Dans quelques années, à l'heure ou blanchira ma compagne, je partirais. Je me tirerais. Je me casserais. je mettrais le bouts. Je foutrais le camp"...
Non. Victor n'a pas écrit ça.
Alors, plus sérieusement, dans cakes années, quand la vieillesse m'aura rejoint, et que ma "retraite" d'un travail (qui n'était pas l'ami de ma santé) sera pour le moins menue. J'ai enfin, "youpi naukku" (expresion japonaise de contentement), trouvé une solution, pour me faire l'argent que j'irais aussitôt picoler au bistrot le plus proche, (voire fumer, si d'ici là, les bienfaits du H. ont enfin été reconnus).
Tous les ans à l'occasion de la journée du patrimoine, (mais aussi de la nuit de noël, du jour de l'an, de celui de pâques), je m'installerais , pine à l'air, dans un confortable fauteuil, au fond de mon jardin, -dans une cabanne illégalement construite, par des clandestins payés au noir -faut c'qui faut-.
Et là, j'attendrais.
Mais j'attendrais quoi direz-vous ?
Eh bien j'attendrais LES VISITEURS pardi.
Mes fils, auront installé sur un rayon de 777 kilomètres autour de ma cachette, des kilos de pancartes fléchées, indiquant ou voir le vieux sage. Patrimoine encore vivant des années de l'Underground Press.
Hop là. Celles et ceux qui auront fait le chemin, devront d'abord payer pour stationner devant chez moi.
Ils et elles devront payer encore, pour pénétrer sur mon terrain -d'aveu un ticket d'accès-.
Ils et elles devront payer, toujours, pour accéder à ma rare personne, attendant augustement au milieu de fleurs, arbres et arbustres, rares eux aussi, et... contempler mes roustons.
Enfin... les plus fortunés, (faut bien exploiter ces cons là !) au vu de mes vieilles couilles, devront cette fois, en direct live (et devant un/une huissier de justice), me remplir un chèque d'au moins 500 Euros, pour pouvoir tripoter mes reliques, et m'entendre ainsi beugler "POUETTE POUETTE", quand on me les soupésera ou pincera.
Camarades Artistes et autres Cinglés, ne faîtes pas comme moi, bande d'enflés. J'ai -bien sûr- déposé à l'Institut National de la Propriété Industrielle, le brevet d'exploitation de cette merveileuse idée.
Hé hé pour sûr. je me ferais aussi du fric avec tous les copieurs et autres imitateurs.
(Pour en finir, j'ai bien sûr, d'autres idées du même tonneau en tête. Elles sont à vendre. Contactez moi. Ou allez vous faire foutre, merde alors)...